
Chaos en coulisses, spectacle sur le terrain : la révolution de l’OM s’embrase avec une victoire 5:2 – et un mercato qui promet Badiashile, Dybala et Boniface
L’air autour de l’Olympique de Marseille n’a jamais été aussi chargé. Les tempêtes en salle de réunion, les rumeurs d’investisseurs, les querelles internes et les remous d’un mercato brûlant semblent entourer le club en permanence. Pourtant, lorsqu’un ballon roule sur la pelouse du Vélodrome, tout s’efface. Et hier soir, face à un Paris FC audacieux, les hommes de Roberto De Zerbi ont rappelé au monde pourquoi l’OM est bien plus qu’un club : c’est une passion, un feu, une identité. Score final : 5:2, dans une ambiance de fête, de défi et d’étincelles offensives.
Mais ce n’est pas seulement le terrain qui a électrisé la soirée. En coulisses, l’OM est en train de boucler le dossier Benoît Badiashile, tout en suivant de près Paulo Dybala et Victor Boniface — trois noms capables de transformer le projet en révolution sportive. Le président a donné son feu vert, et le message est clair : l’OM ne rêve pas, il agit.
⚡ Un club en tumulte, une équipe en feu
Peu d’institutions du football européen incarnent autant la dualité que l’Olympique de Marseille. Chaque semaine, les journaux parlent de conflits internes, de finances tendues, de changements au sommet. Les rumeurs de transferts circulent à la vitesse du mistral : Eduardo Camavinga, Youri Tielemans, Paulo Dybala… autant de noms associés à l’OM dans un tourbillon incessant.
Et pourtant, hier soir, sur la pelouse, ce n’était pas le chaos qui parlait, mais la joie. Les supporters, habitués aux crises, ont vu une équipe jouer avec une intensité folle, portée par l’empreinte De Zerbi. Cette victoire n’était pas une simple formalité : c’était un signal, une preuve que le projet avance malgré les secousses.
« Marseille est unique. Ce club vit dans le chaos, mais transforme le chaos en force », a déclaré l’ancien capitaine Basile Boli, invité d’honneur au Vélodrome.
Et au centre de cette transformation, un homme : Roberto De Zerbi.
⚡ L’effet De Zerbi : du feu dans chaque passe
Depuis son arrivée, De Zerbi a promis un football total, fait de pressing haut, de transitions rapides, d’intensité constante. Hier soir, ses promesses se sont matérialisées : cinq buts inscrits, un spectacle digne des plus grandes soirées.
Ce n’est pas tant le nom de l’adversaire (Paris FC) qui compte, mais le contexte. Alors que les tensions extra-sportives auraient pu paralyser le vestiaire, elles ont au contraire libéré une énergie. Les Marseillais ont joué avec le cœur, et avec un style qui colle à l’ADN du club.
Et pour renforcer cette vision, De Zerbi a insisté auprès de ses dirigeants : Badiashile doit arriver. Le défenseur de Chelsea, formé à Monaco, a le profil parfait : relance propre, puissance défensive, expérience européenne. Les discussions sont avancées, et son arrivée est décrite comme imminente par des sources proches du dossier.
⚡ Aubameyang et Greenwood en feu : deux torches qui embrasent le Vélodrome
Le Vélodrome n’a pas simplement vu cinq buts : il a vu deux hommes en état de grâce.
Pierre-Emerick Aubameyang, capitaine de cœur et guide d’expérience, a encore prouvé qu’il était plus qu’un buteur. Leader, créateur, il a signé un doublé et offert une passe décisive, haranguant la foule à chaque éclat. À 34 ans, il incarne cette rage de vaincre qui colle à la peau de l’OM.
À ses côtés, Mason Greenwood, arrivé dans un climat d’interrogations, a fait taire les doutes. Rapide, tranchant, inspiré, il a marqué et provoqué une défense parisienne dépassée. Le public a vu naître une complicité : la fougue du jeune Anglais mariée à l’expérience du Gabonais. Deux générations, deux histoires, mais une même flamme pour Marseille.
« Ce soir, j’ai vu un duo qui peut marquer la saison entière. Aubameyang donne l’exemple, Greenwood libère son talent. Ensemble, ils peuvent rendre l’OM imprévisible et redoutable », a commenté Éric Di Meco, visiblement emballé.
⚡ Le chaos comme carburant – et cinq éclairs au Vélodrome
L’OM n’a pas simplement gagné : il a frappé cinq fois, comme pour répondre à toutes les critiques accumulées depuis des semaines. Cinq buts, chacun célébré comme un acte de rébellion contre le doute. Le Paris FC a résisté, a marqué deux fois, mais rien ne pouvait éteindre cette marée bleue et blanche.
« On attendait une réaction, on a eu une révolution », a résumé Basile Boli, encore sous le choc.
Le 5:2 n’est pas une victoire anodine. C’est une claque envoyée à toute la Ligue 1 : l’OM, même en pleine tempête, reste capable d’offrir le spectacle le plus incandescent de France.
⚡ Orages de mercato : Badiashile, Dybala et Boniface
Et en coulisses, l’orage du mercato gronde.
- Benoît Badiashile → L’affaire est en train de se conclure. Chelsea et l’OM discutent des derniers détails. De Zerbi en a fait une priorité absolue, convaincu que le Français est la pierre angulaire de sa défense.
- Paulo Dybala → Le génie argentin, en fin de cycle à la Roma, est sérieusement suivi. L’OM voit en lui un créateur capable de débloquer les grandes soirées européennes. Le président aurait donné son aval pour des discussions si une ouverture se présente.
- Victor Boniface → L’attaquant nigérian du Bayer Leverkusen est activement surveillé. Sa puissance, son pressing et sa jeunesse séduisent De Zerbi. Si l’occasion se présente, l’OM sera là.
Ces trois noms ne sont plus des rêves lointains. Ils incarnent la volonté de l’OM de frapper fort.
⚡ Le peuple marseillais, moteur de la révolution
Au Vélodrome, les victoires n’ont jamais été banales. Les chants hier soir résonnaient avec une intensité particulière. « Aux armes ! », hurlait le Virage Sud, pendant que les banderoles rappelaient que Marseille ne plie jamais.
Pour les supporters, l’espoir renaît. Oui, le club est instable. Oui, les crises sont permanentes. Mais hier, l’OM a redonné ce qu’il doit toujours donner : de la fierté.
Un supporter du Virage Nord confiait après le match :
« On nous dit toujours que l’OM est en crise. Mais ce soir, on a vu l’OM qu’on aime : fou, généreux, imprévisible. Avec Aubameyang et Greenwood en feu, et si Badiashile, Dybala ou Boniface arrivent… l’Europe va trembler. »
⚡ Une mise en garde à l’Europe
Le score de 5:2 n’a peut-être pas bouleversé l’élite européenne, mais il a une portée symbolique immense. L’OM renaît. Avec De Zerbi, avec un projet clair, avec un mercato qui pourrait amener Badiashile, Dybala et Boniface, le message est clair : comptez sur Marseille.
Le PSG domine les journaux, mais Marseille domine les cœurs. Et dans le football, la passion est l’arme la plus puissante.
📌 Mot de la fin
L’OM ne sera jamais un club tranquille. Il ne sera jamais un club simple. Mais c’est précisément cette folie qui en fait une légende.
Cette victoire 5:2 n’est pas qu’un score : c’est une promesse. Une promesse de spectacle, de passion, et de mercato ambitieux. Une promesse que Marseille, malgré le chaos, sera toujours Marseille.